1. |
À présent
05:15
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À présent, dans tes yeux,
Je vois bien que la ville est en feu
Qu'elle nous force à revoir le trajet de départ
Il y avait un chemin
Qui comprenait de nombreux virages
Ou la route que l'on prend
D’une vue embrouillée par les larmes
À présent, deux amants réunis à jamais
Retrouvés un matin, près du fleuve en hiver
Brûlés par l'accident, gonflés par la noyade
Renvoyant, malgré tout, un sourire à la mort
À présent...
À présent…
La vitesse est une arme qui se tourne finalement contre toi
Tu y croiras peut-être tout en accélérant
Il y avait un chemin
Qui comprenait de nombreux virages
Ou la route que l'on prend
D’une vue embrouillée par les larmes
À présent, deux amants réunis à jamais
Retrouvés un matin, près du fleuve en hiver
Brûlés par l'accident, gonflés par la noyade
Malgré tout, renvoyant un sourire à la mort
À présent...
À présent…
À présent…
À présent
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2. |
Gold Rush
03:48
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C'était finalement des raisons étranges
Pour lesquelles nous devions partir si loin
Creuser un trou pour s'allonger dedans
Et pouvoir fermer les yeux
Gold rush
La fièvre qui monte,
Gold rush
Un soir enivré
Gold rush
Et qui redescend,
Gold rush
Un matin d'été
C'était finalement des raisons étranges
Pour lesquelles nous devions chercher si loin,
Voir mes mains qui tremblent un peu moins souvent
Je les couperais s'il le faut
Gold rush
La fièvre qui monte,
Gold rush
Un soir enivré
Gold rush
Et qui redescend,
Gold rush
Un matin d'été
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3. |
Un homme sans visage
03:38
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Un homme sans visage, brûlé par le feu
À la peau fondu comme un cierge
Il posa sa main où était autrefois
érigé un nez fier et droit
Tu crois que c'était beaucoup mieux avant
Tu n'avais pas plus de visage
Tu crois que tu aimerais revenir comme avant
Tu n'avais pas plus de visage
La dernière image partie en fumée
Ne restera qu'un souvenir vague
Cherchant à revoir quelque part dans son cœur
Un feu qui brûlerait mieux ailleurs
Tu crois que c'était beaucoup mieux avant
Tu n'avais pas plus de visage
Tu crois que tu aimerais revenir comme avant
Tu n'avais pas plus de visage
Un homme sans visage qui ne verra jamais le visage devant soi
Un homme sans visage qui ne verra jamais le visage devant soi
Un homme sans visage qui ne verra jamais le visage devant soi
Un homme sans visage qui ne verra jamais le visage devant soi
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4. |
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Elle s'est manifestée l'autre soir
Une voix qui t'a dis ''reste là,
Je sais que tu ne seras jamais seule''
Deux yeux qui voyaient au fond de toi
Hier soir, quelqu’un est entré.
Deux yeux au fond d’une pièce noire
Hier soir, quelqu’un est entré.
Deux yeux au fond d’une pièce noire
T'as déposé ton verre sur la table
Tu ne voudrais jamais lui faire du mal
Je sais que nous ne serons jamais seuls
Deux yeux qui brillaient au fond de toi
Hier soir, quelqu’un est entré.
Deux yeux au fond d’une pièce noire
Hier soir, quelqu’un est entré.
Deux yeux au fond d’une pièce noire
Hier soir, quelqu’un est entré.
Deux yeux au fond d’une pièce noire
Hier soir, quelqu’un est entré.
Deux yeux au fond d’une pièce noire
Hier soir, quelqu’un est entré chez moi
Hier soir, quelqu’un est entré.
Deux yeux au fond d’une pièce noire
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5. |
Après tout
03:51
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J'aurais eu raison de me taire
Et de regarder droit devant
Les idées noires qui deviennent claires
Dans un cinéma noir et blanc
Je n'ai jamais choisi la guerre
Je n'ai jamais choisi mon camp
Oh non
Après tout, je m'en vais
J'aurais eu raison de me faire
Petit dans cette mare de sang
De faire le mort, de bien le faire
Un fantôme qui s'éloigne lentement
Je n'ai jamais choisi la guerre
Je n'ai jamais choisi mon camp
Je n'ai jamais choisi la guerre
Je n'ai jamais choisi mon camp
Oh non
Après tout, je m'en vais
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6. |
Le fou dans l'arbre
03:53
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Ils ont couru vers toi
Ils ont cru bon de te crier fort
Qu'ils te l'avaient prédit
Qu'ils voyaient ce qui s'en venait pour toi
T'aurais changé ton nom
T'aurais changé d'adresse et de peau
Mais tu restais là-haut
Comme un fou dans un arbre
Qui rit...
Quand la corde a soulevé ton corps
Une rue s'est vidée devant toi
Les chiens aboyaient encore
Pour que tu puisses descendre vers les gens
Qu'ils t'accueillent dans leurs bras
Qui se ferment comme des pièges
T'aurais changé ton nom
T'aurais changé d'adresse et de peau
Mais tu restais là-haut
Comme un fou dans un arbre
Qui rit...
Quand la corde a soulevé ton corps
Une rue s'est vidée devant toi
Quand la corde a soulevé ton corps
Une rue s'est vidée devant toi
Quand la corde a soulevé ton corps
Une rue s'est vidée devant toi
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7. |
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Seul avec tes bottes
Ton amour a claqué la porte
Chacun joue son rôle
Tu voulais jouer du rock & roll
Tu appartenais à cette époque
Celle qui t'apportait les solutions du monde entier
Tu appartenais à cette époque
Celle qui t'apportait les solutions du monde entier
Sur ton lit de mort
Tu y penses encore
Tes héros déchus
Ils ont disparu
Ils appartenaient à cette époque
Celle qui t'apportait les solutions du monde entier
Ils appartenaient à cette époque
Celle qui t'apportait les solutions du monde entier
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8. |
Goudron et plumes
03:53
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L'exil est difficile à faire comprendre
Pour un joueur compulsif à l'ouvrage
Toujours le doigt sur l'arme et la détente
Lorsqu'il devrait tirer sa révérence
Et toi
Voyais-tu dans ses yeux
Les larmes d'un malheureux
Ou bien des larmes de joie
Oh non
Goudron et plumes couvriront ta confiance
Sortie remarquée par la porte avant
Forcé de croire si l'on ose croire au jeu
Que la main qui gagne te trainera par les cheveux
Et toi
Voyais-tu dans ses yeux
Les larmes d'un malheureux
Ou bien des larmes de joie
Oh non
Voyais-tu dans ses yeux
Les larmes d'un malheureux
Ou bien des larmes de joie
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Jonathan Personne Montreal, Québec
BOOKING: Ensemble Concerts
Ouss Laghzaoui:
ouss@ensembleconcerts.com
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LABEL: Bonsound
label@bonsound.com
***
Jonathan Personne est le projet solo de Jonathan Robert, membre du groupe Corridor. Un coffret de chansons aux riffs tristes et nostalgiques qui nous parlent d'amour et de fin du monde.
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